Sandales usées sur le vélo des ancêtres
En chemin vers la plage reculée et ses milles fenêtres
Léger, l’esprit divague d’une bière glorieuse mais maline en arrière gout
Alors on zig-zag dans des fougères moqueuses qui s’alignent en garde a vous
A travers les pins ensablés, une lueur insouciante
Celle de l’été, de ses fraises endiablées et de ses boules de pétanques
Enfin le souffle du zef, première plongée dans l’ocean
Ici le soleil assèche sous une danse de cerfs-volants